Ma visite annuelle au Festival de bande dessinée Le Rayon Vert m’a fait réalisé que ma « culture dessinée » équivaut à peu près à mes connaissances sur le fusion des mitochondries, c’est à dire que dalle!
Ce festival est devenu l’incontournable rendez-vous des fans de Marvel, de super héros, et de Cosplay. J’explique d’ailleurs tout cela très bien dans le blog Cityshop sur lequel j’offre ma maigre contribution. Miss Grumpy, ce jour là, a fait honneur à son surnom, je n’ai donc pas pu rester aussi longtemps que je l’aurais voulu… sous peine de séquelles psychologiques irréversibles!
Ce festival m’a fait repenser à la seule BD que j’ai lu plusieurs fois… Les Idées Noires de Franquin… L’album qui m’a vraiment fait marrer bêtement dès mon plus jeune âge. Le truc le plus dingue? L’ année de la première parution est celle de mon année de naissance… C’était un signe! Houlààààà, l’indice géant sur mon âge!
Bon alors, je vous préviens, ça en fera rire certains, mais évidemment, d’autres ne comprendront pas la subtilité de l’humour noir… J’ai envie de dire: bin tant pis hein!!!
Je vous laisse déguster ces quelques planches d’humour!
Mon préféré, reste celui -ci!!!
« Lorsqu’après avoir lu une page d’Idées noires de Franquin, on ferme les yeux, l’obscurité qui suit est encore de Franquin » (Phrase détournée par Gotlib d’une citation de Sacha Guitry en rapport avec Mozart).